SANCTUAIRES

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Le mot créole en français "Créole" LA BOURREAUTE Se sont des mots créoles NENAIN DYLAN RIKCQUETE Elles parlent une langue - nénène dans laquelle lorsqu'on s'exprime pour dire une réalité du moment on entend la réalité du compte rendu d'un imaginaire. Et, lorsqu'on s'exprime pour dire un imaginaire du moment on entend l'imaginaire du compte rendu d'une réalité En conséquence tous les enfants élevés par la nénaine parlent la langue de sa nénaine Les enfants élevés par la nénène parlent la langue de leurs nénènes. Les enfants créoles ne parlent pas créoles,
La langue créole n’existe pas. La langue nénène existe La langue nénène est garnie de joyaux pour notre imaginaire.
Il suffit tout simplement de traduire les mots que nous utilisons, comprendre sa traduction et l’aimé et si vous traduisez ces mots vous verrez que votre vie prendra un autre sens :
exemple le mot égyptien de Gor Wé qui veux dire «horus jeune». Ce mot arrive avec les Wolofs du Sénégal mis en esclaves sur cette île : Gawé qui veux dire «beau jeune homme » La langue est une langue pleine de vérité, pleine d’imaginaire, pleine de survie pour connaître la vie de demain, pleine de discours avec les enfant et les vieillard et avec soi – même et avec cette spiritualité, cette amour qu’aucune cage ne peu diminuer l’intensité de son espace d’action Vazimba qui se traduit ainsi : « qu’est ce que c’est le partage ». L’action Vazimba que tous les créoles ont abandonnés et cela depuis l’arrivé de ces 3 femmes françaises en 1665. que tous les créoles ont mis en situation d’aménésie « amnésiquement » en 1848. Le tableau m’en est témoin.Cela près de 500 ans que le créole est vide d’amour. LA BOURREAUTE Si ce n’est pas de l’amour, qu’est-ce que c’est ? NENAIN DYLAN RIKCQUETE Les livres sur l’histoire : qui donnent aux habitant de l’île bourbon une raison de ne pas adopté cette histoire bourbonnaise (de 1642 à 1848) dans l’histoire réunionnaise (de 1849 à 2047), sont des puzzles de récits partagés, découpés, tel un jeu de carte parmi des joueurs qui vont semer des troubles, des confusions, des mises en doutes, des amnésies grossières : tel l’enseignement ludique pour ne pas traduire les mots qui révèleraient nos péchés originels. Tous ces mises en doute, c’est pour que l’histoire, l’autre, celle qui a un lien avec le repo d’esprit et de corps, les métisses ne se l’approprie pas.
Culture de mise en doute
L’histoire est malade
L’histoire est in enseignable
Le créole est plein de sentiment publicitaire. L’amour est remplacé par la publicité, la publicité de soi envers la gente touristique. LA BOURREAUTE Mais le tourisme est une culture mondialisée est dominante ! NENAIN DYLAN RIKCQUETE Au jour d’aujourd’hui, en 2047 et cela depuis 2030 est vrai LA BOURREAUTE Mais ; Monsieur Dylan Rkquethé, vos souvenirs ne sont qu’un programmes touristiques, un peu étrange, même beaucoup étrange, vous ne pouvez pas me dire le contraire ! LE COMMISSAIRE PRISEUR Marguerite Antelme, ne le troublez pas avec notre présent, il y a un risque qu’il devine nos intentions ! LA BOURREAUTE Mais, il insulte notre culture Touristique, et tu sais que c’est mon défunt de père (anthelme) qui à été le développeur de cette culture, mon père est un grand métisse-Créole ! LE COMMISSAIRE PRISEUR Calme toi, je t’assure, tout ce que nous sommes entrain de lui arracher, touts ces chiffres d’années, touts ces signes aux mots « dire » directent comme ça, ça vaux de l’or. Calme toi est continu ta conviction primaire. Hein ! Ta conviction primaire doit te primer ! LA BOURREAUTE Monsieur Nénain… le nain Jean-Jacques Higautho, je vais allée pissée pour me calmée ! Ok … ! Sur cette partie de souvenir là. Je vais lui arraché le tacon de z’affaire que lu na dans la tête. A ton retour de ton pissage cette partie sera embobinée dans la mémoire vive de l’ordinateur. OK ! Je m’applique, manipule, inter – connecte et tape le bouton d’entré. OK … ! 1 - Le créole n'ayant pas le pouvoir de grande communication que possède le français, (ou l'anglais, l'espagnol, le portugais), il serait suicidaire de d'enfermer les Réunionnais dans une "créolophonie" qui bornerait leur horizon aux frontière de l'île.

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